
Le sommeil, plus qu'une question de cerveau :
un enjeu de société
Les Sleep Activists chez "Envoyé spécial"
Aujourd'hui, le sommeil est le plus souvent décrit comme un phénomène biologique, lié à notre cerveau, ses synapses et ses neurones.
Il l'est bien sûr.
Mais nous voulons aussi montrer que le sommeil est une matière vivante, un moment qui peut aussi rimer avec plaisir, découvertes et civilisation.
En d'autres termes, chez les Sleep Activists, nous voulons convaincre que le sommeil est avant tout une question de société.
Les Sleep Activists dans la presse
Les bouleversements du sommeil
Le bouleversement du sommeil, également connu sous le nom de trouble du sommeil, fait référence à toute perturbation de la qualité, de la quantité ou de la durée du sommeil. Il peut prendre de nombreuses formes différentes, allant de l'insomnie à l'apnée du sommeil en passant par les cauchemars ou les troubles du rythme circadien.

Les mille et un visages du sommeil

Mieux dormir ?
Le sommeil est en effet influencé par des facteurs culturels, sociaux, économiques et environnementaux, et il est vrai que des changements de mode de vie peuvent souvent améliorer la qualité du sommeil.
Des pratiques telles que l'exercice régulier, une alimentation équilibrée, une exposition à la lumière naturelle et l'évitement des écrans avant le coucher peuvent contribuer à favoriser un sommeil sain. Des pratiques de relaxation comme la méditation et le yoga peuvent également aider à réduire le stress et l'anxiété, qui sont des facteurs courants de troubles du sommeil.
Histoire, tourisme, littérature, amour :
l'universalité du sommeil
«Il y a un mystère du sommeil. Certes, c'est un sujet banal de discussions : qui, à côté de la machine à café, n'a pas parlé de sa mauvaise nuit à ses collègues de travail ? Quel parent n'a pas évoqué sa fatigue issue de nuits perturbées par les cris du nouveau-né ? Lors du printemps 2020, chacun ne s'est-il pas interrogé sur son repos bouleversé par une vie confinée ? Et pourtant. Malgré son universalité, le sommeil demeure une « colonne absente » des mondes de la politique comme de la santé.»

«Je ne dors pas. J'ai perdu le sommeil. Il erre quelque part, loin de moi, comme une ombre. Ou, allez savoir, il fait la fête, et c'est moi l'ombre. Qui est-ce qui ne dort pas quand je ne dors pas ? L'insomnie croît comme le désert, à mesure que tombent les grands arbres. Et pendant ce temps, d'autres êtres ont les yeux ouverts. D'autres yeux regardent. L'insomnie se nourrit de ce sentiment confus : il y a autre chose. Alors pour dormir, j'ai tout essayé.»

« 200 lieux d'exception en Europe pour dormir sous les étoiles. Du camping sauvage à la cabane de charme, Dormir en pleine nature présente plus de 200 lieux d'exception en Europe pour dormir au plus près de la nature. Sites perdus où planter sa tente, refuges de bout du monde, hébergements insolites dans des paysages préservés... En mode aventure ou luxe, dans un cadre familial ou romantique, les options pour dormir sous les étoiles sont infinies. »

« Quel bonheur, la nuit venue, de se réfugier sous la couette ! À deux c'est encore mieux… Quoique... (...) Conjugal – forcément conjugal – le lit fut longtemps le lieu consacré des moments essentiels d'une vie. On y naissait, on y mourait entouré des siens. Il révèle aujourd'hui les attentes contradictoires du couple qui aspire à un bien-être personnel sans renoncer pour autant à l'amour fusionnel.»

« Pourquoi dormir quand il y a tant à faire ? Le sommeil à l’ancienne n’est-il pas dépassé, enterré par les réseaux sociaux, les boutiques et les agendas ouverts 24 h sur 24 ? L’urbanisation nous conduit à un temps uniforme, à une illumination permanente de l’environnement, à une succession de stimulations irrésistibles. Faire une pause, oui. Dormir, plus jamais ! »

« La forme du sommeil qui prévaut dans les sociétés occidentales n’est en rien « naturelle » : elle ne s’est imposée qu’à partir du XIXe siècle. Jusqu’alors, le sommeil y était généralement scindé en deux blocs de durée égale, séparés par une période de veille d’une heure environ que pouvaient occuper diverses activités : méditation silencieuse, réflexion sur le sens des rêves, prière, rapports intimes, consommation de tabac, tâches ménagères, soin des bestiaux... »

« Nous passons près de vingt-cinq ans de notre vie à dormir... et certains plus que d'autres ! Mais que connaissons-nous vraiment du lit ? Les australopithèques dormaient-ils dans les arbres? Avez-vous testé le bus pour insomniaques à Hong Kong ? Se repose-t-on mieux dans l'espace ou dans un love hotel ? (...) Devenez un expert en paddock, en plumard, en baldaquin, en charpoy ou en futon ! Ouvrez la porte de la chambre, glissez-vous au lit : c'est un voyage à l'horizontale, dans le temps et tout autour de la planète qui commence. »

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